Prenez World of Tanks, remplacez les tanks par des avions, et voilà World of Warplanes. Attention, je ne dis clairement pas que c'est une mauvaise chose. Mais les habitués vont globalement très vite s'y retrouver. À part au niveau du gameplay bien sûr, puisque le véhicule n'est absolument plus le même. J'ai donc pu y jouer un petit peu. J'ai essayé les trois modes de commandes disponibles (joystick, manette, souris+clavier). Ils proposent une maniabilité différente, mais qui reste toujours bonne.
Le fait que seule la mitrailleuse soit disponible (pas de missiles au début, après, je ne peux pas vous dire) rend le jeu assez différent des autres jeux d'avions, car il faut n'utiliser qu'elle pour détruire les ennemis. Il a été pour moi compliqué de viser correctement. Aucun kill à mon actif donc.
Mais honnêtement, je pense que, pour ceux qui apprécient un minimum les jeux d'avions, World of Warplanes pourrait devenir incontournable grâce aux éléments si appréciés de World of Tanks (personnalisation, statistiques, médailles, clans...).
Haa, là on rentre déjà plus dans mes compétences. J'ai pu essayer le mode multijoueur (j'ai d'ailleurs reçu un joli tee-shirt pour avoir été classé dans les premiers). Le but était de trouver une bonne cible parmi des "cibles potentielles" puis de la faire exploser. Et ce environ trois fois pendant la partie. Les cibles étaient un ensemble de tonneaux avec un détonateur à activer. Et pendant ce temps là, l'autre équipe devait défendre.
Niveau gameplay, comme d'hab', "c'est du Call of", mais en plus lent. En changeant de classe et donc d'arme (de fusil d'assaut à pistolet-mitrailleur), je n'ai même pas eu l'impression d'avoir amélioré ma vitesse de déplacement. J'espère que je me trompe.
On note également l’apparition d'une fonctionnalité qu'on pourrait appeler "frère d'arme". Déjà vue dans Call of Juarez : The Cartel, elle permet d'améliorer le jeu par équipe en poussant deux partenaires à rester ensemble, pour pouvoir se soigner et prendre des munitions. Tout cela se fait sans l'intervention de l'autre joueur, donc même s'il ne sait pas jouer, il ne sera pas totalement un handicap. Le système influe également sur les réapparitions, puisque celles-ci se font à côté du partenaire, quand il n'est pas à la vue des ennemis.
Manette en main, c'est le seul jeu de la Gamescom qui m'a fait penser "Ah, tiens celui là, y'a des chances que je l'achète à sa sortie". Affaire à suivre donc, mais prometteur à première vue.
Je voulais voir ce jeu tout simplement parce que j'avais lu sur Nofrag que tous les visiteurs du stand auraient accès à la bêta. En gros, Firefall est une sortie de Borderlands dans un monde futuriste, en ligne. Un MMO-RPG-FPS-F2P-OpenWorld (waou). Équipé d'armes et de votre jetpack, vous vous baladez dans le monde, seul ou à plusieurs, afin de trouver et d'effectuer des quêtes. Des exemples ? Rapporter XX [nom d'une ressource], allez voir [nom d'un PNJ], tuer XX [nom d'une créature], etc. Des quêtes des plus classiques dans les MMORPG.
Ni repoussant, ni attirant, Firefall pourrait être intéressant. De toute façon, il est (et visiblement sera) gratuit, alors il n'y a aucun risque à l'essayer si sa description vous plaît.
Alors lui, je n'en avais jamais entendu parler ! Et vous ? J'ai pourtant été surpris par ce stand grand et classe. Pas vraiment par le jeu par contre. On retrouve simplement un mélange entre Counter Strike (combat rapproché, design des perso, pack de soins...) et Call of Duty (gameplay) qui ne semble pas proposer d'innovation. À oublier ? Pour le moment, oui.
Brr, j'ai encore des frissons en y pensant. Ce stand a presque été un calvaire pour moi. Les trois jeux proposés, Lost Planet 3, Resident Evil 6 et Devil May Cry, sont tous des suites de jeux auxquels je n'ai jamais joué et pour lesquels je n'ai pas éprouvé un quelconque intérêt. Désolé pour ceux qui recherchent des infos sérieuses et un avis de connaisseur.
Je commence donc à jouer gentiment avec Resident Evil 6. Je choisis le dernier perso dispo (3 ou 4 sont jouables), et j'arrive dans une ruelle sombre avec une fille armée prête à m'aider. Des créatures malfaisantes sortent d'un peu partout, quant à moi, je suis presque toujours en manque de munitions. Oui parce que, je suis sûrement nul, mais il fallait pas mal de balles pour tuer ces choses. Ce qui fait qu'en gros, j'ai pas avancé énormément...
Voyons ensuite Devil May Cry. Il a l'air sympa quand même. Classique mais cool. Pour moi, ce n'est qu'un beat'em'all avec des cinématiques assez fréquentes. Et puis niveau graphismes, encore une fois, la télé devait être sacrément mal réglée, parce que ça piquait les yeux.
Et je finis par Lost Planet 3. C'était tellement intéressant que je n'ai juste retenu la (grosse) phase dans laquelle on se trimballe dans un gros robot bien lent, pour se rendre dehors où il fait -20 degrés. Inintéressant, je sais, désolé.